Société mondiale des Amis de Jorge Luis Borges
Image above: Fritz Lang's last film before leaving for Hollywood, 'The Testament of Dr Mabuse' (1933), was banned by the Nazis and had to have its premiere in Vienna.
Orbis Tertius est la collection de publications en Internet pour des auteurs membres de Société Mondiale des Amis de Jorge Luis Borges et pour des amis de la Fondation Internationale Can Mossenya - J L Borges.
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Dans la jungle des geôles birmanes:   "Chronique politique de la Birmanie contemporaine", ce premier roman par Karen Connelly  a l'étoffe des grands. 
 
En 1995, dans une prison proche de Rangoun, un jeune chanteur populaire condamné en
1988 à vingt ans d'isolement pour avoir écrit des textes célébrant la démocratie
et sa figure de proue, la belle Aung San Suu Kyi, mange les lézards qui se faufilent
dans sa cellule pour ne pas mourir de faim. La Cage aux lézards est un roman,
le premier de l'auteur, mais Karen Connelly, une Canadienne de 38 ans qui a vécu
deux ans à la frontière de la Birmanie et de la Thaïlande, s'est inspirée de
ce que lui ont rapporté des centaines de témoins sur la situation politique.
Elle connaît aussi intimement l'âme birmane, tout imprégnée de bouddhisme.
L'auteur a réalisé un exploit narratif. À l'exception des dix premières, les 600 pages de cette histoire se passent entre quatre murs, et pourtant, pas un instant, une fois qu'on s'est coulé dans le temps dilaté du quotidien carcéral, on a l'impression de tourner en rond. Teza, le héros, bien qu'il soit confiné dans une cellule hermétiquement close depuis sept ans, a recréé l'univers autour de lui. « Tout parle » à Teza dans son « cercueil de teck », comme on appelle sa geôle : les sept espèces de fourmis avec lesquelles il partage les lieux, l'araignée qu'il emmène en promenade sur sa main, les lézards qu'il pourchasse, éprouvant une culpabilité mêlée d'espièglerie en pensant à sa mère qui serait horrifiée de le voir enfreindre le premier précepte bouddhiste. Même la porte en bois de teck et les fragments de papier journal qu'il récupère dans les mégots lui parlent du monde d'où ils proviennent... plus dans Le Figaro
 "...C'est que l'Amérique contemporaine n'a compris ni le sens de l'histoire 
  ni le rôle qui incombe à un pays leader. L'ONU fait montre d'un esprit plus 
  conforme à notre temps en privilégiant le droit sur la guerre. Leur idée de 
  vouloir imposer le prestige de l'empire américain à travers des conflits locaux 
  répond à une antienne du XIXe siècle. L'Amérique contemporaine nage en plein 
  passé, tant par un cuisant manque de culture que par son ubris. Lequel est d'ailleurs 
  typique des grandes puissances européennes du siècle de Louis-Philippe. Sous 
  l'Administration Bush, les États-Unis ont opéré un spectaculaire retour en arrière 
  idéologique. C'est terrible de penser qu'il y a quelques décennies seulement, 
  dans les années 1940, les dirigeants américains s'étaient instruits auprès de 
  l'anthropologue, Ruth Benedict, chargée de décrypter la mentalité des Japonais 
  avant d'entrer en guerre contre eux. Agrippés à une posture digne de l'ex-empire 
  britannique, ils n'ont pas même daigné interroger de grands orientalistes avant 
  de s'engager au Moyen-Orient. ..." ...lire 
  l'entretien dans Le Figaro.
  "...C'est que l'Amérique contemporaine n'a compris ni le sens de l'histoire 
  ni le rôle qui incombe à un pays leader. L'ONU fait montre d'un esprit plus 
  conforme à notre temps en privilégiant le droit sur la guerre. Leur idée de 
  vouloir imposer le prestige de l'empire américain à travers des conflits locaux 
  répond à une antienne du XIXe siècle. L'Amérique contemporaine nage en plein 
  passé, tant par un cuisant manque de culture que par son ubris. Lequel est d'ailleurs 
  typique des grandes puissances européennes du siècle de Louis-Philippe. Sous 
  l'Administration Bush, les États-Unis ont opéré un spectaculaire retour en arrière 
  idéologique. C'est terrible de penser qu'il y a quelques décennies seulement, 
  dans les années 1940, les dirigeants américains s'étaient instruits auprès de 
  l'anthropologue, Ruth Benedict, chargée de décrypter la mentalité des Japonais 
  avant d'entrer en guerre contre eux. Agrippés à une posture digne de l'ex-empire 
  britannique, ils n'ont pas même daigné interroger de grands orientalistes avant 
  de s'engager au Moyen-Orient. ..." ...lire 
  l'entretien dans Le Figaro.
 Discours 
  sur "La 
  responsabilité communne du bon usage de la raison" donné par Benoît XVI 
  à l´Université de Regensburg le 12 septembre 2006 : L'empereur expose 
  ensuite minutieusement les raisons pour lesquelles il est absurde de diffuser 
  la foi par la violence. Une telle violence est contraire à la nature de Dieu 
  et à la nature de l'âme. " Dieu n'aime pas le sang- dit-il-, ne pas agir selon 
  la raison (…) est contraire à la nature de Dieu. La foi est le fruit de l'âme 
  et non du corps. Celui qui veut conduire quelqu'un vers la foi, doit être capable 
  de bien parler et de raisonner correctement et non d'user de la violence et 
  de la menace… Pour convaincre une âme raisonnable on n'a besoin ni bras, ni 
  d'armes, ni non plus d'un quelconque moyen par lequel on peut menacer quelqu'un 
  de mort…. "... lisez le texte complet en pulsant sur le titre.
 Discours 
  sur "La 
  responsabilité communne du bon usage de la raison" donné par Benoît XVI 
  à l´Université de Regensburg le 12 septembre 2006 : L'empereur expose 
  ensuite minutieusement les raisons pour lesquelles il est absurde de diffuser 
  la foi par la violence. Une telle violence est contraire à la nature de Dieu 
  et à la nature de l'âme. " Dieu n'aime pas le sang- dit-il-, ne pas agir selon 
  la raison (…) est contraire à la nature de Dieu. La foi est le fruit de l'âme 
  et non du corps. Celui qui veut conduire quelqu'un vers la foi, doit être capable 
  de bien parler et de raisonner correctement et non d'user de la violence et 
  de la menace… Pour convaincre une âme raisonnable on n'a besoin ni bras, ni 
  d'armes, ni non plus d'un quelconque moyen par lequel on peut menacer quelqu'un 
  de mort…. "... lisez le texte complet en pulsant sur le titre.
 6 mai 2006: 
  150 anniversaire de Sigmund Freud:
6 mai 2006: 
  150 anniversaire de Sigmund Freud:
  Esther Freud, l'art de se faire un prénom, la petite-fille de 
  Freud, écrivain, s´entretient avec Jean-Pierre Langellier pour 
  Le 
  Monde
Le penseur des lumières sombres par Elizabeth Roudinesco dans Le Monde
Sur le divan du maître par Jean-Pierre Langellier dans Le Monde
La "planète psy" : un réduit occidental? enquête dans Le Monde
 La 
  fiesta de la palabra (Celebration of the Word)
La 
  fiesta de la palabra (Celebration of the Word)
  By Ivonne Bordelois winner of the Prize (editorial) Sudamericana 
  - (newspaper) La Nación ... her 
  speach in Spanish
Now  two scholars claim a diplomat (would you believe it!) 
  was the 'real' Shakespeare
  Much ado about identity by David Keys ... read more in The 
  Independent
Saramago: "Escribí un libro que jamás publicaré 
  en vida"
  ...Cuando mi padre fue a inscribir mi nacimiento, el funcionario le preguntó 
  cómo se iba a llamar el niño y mi padre contestó: "Se 
  llamará como su padre". El funcionario añadió Saramago 
  a José de Sousa sin que mi padre se diera cuenta ... leer 
  entrevista en diario La Nación
 British 
  Library rare books on line.
British 
  Library rare books on line.
Mario Vargas Llosa : «La democracia y la felicidad no producen 
  gran literatura»
  ... las sociedades en las que "desapareció el hambre y 
  el sufrimiento" producen sólo una literatura "mediocrísima" 
  y "sin vuelo", mientras que las grandes literaturas aparecen en las 
  comunidades dominadas por la inseguridad, la violencia y donde "el vacío 
  existencial se llena con creación". ... más en Periodista 
  Digital
La falta de imaginación (para el bien) empobrece a el ser humano: 
  
  Lo que Borges admiraba en Chesterton era su sabia imaginación. Borges 
  creía que cuando Chesterton confiaba en su imaginación no se equivocaba. 
  ... lea la entrevista al Prof. Ian Boyd, presidente del Instituto Chestertoniano 
  para la Fe y la Cultura, de la Universidad de Seton Hall, en Nueva Jersey en 
  diario La 
  Nación
 Harold Bloom habla del Genio: "El único genio 
  de la tradición americana es Walt Whitman" 
  Si a Goethe le hubieran preguntado por el genio más excelente habría 
  dicho que Shakespeare, y yo mismo diría que nadie llegará a la 
  altura de Shakespeare, Cervantes y Dante. Y hablo de ese poso sin tener en cuenta 
  las tonterías que reinan hoy en el mundo académico anglosajón, 
  en donde el estudio de la literatura ha muerto... más en El 
  País
Norah Borges habla de su hermano Georgie al escritor Braceli 
  Georgie decía de ella: Norah, en todos nuestros juegos era siempre el 
  caudillo; yo el rezagado, el tímido, el sumiso. (…) 
  En la escuela el contraste se repitió (hasta el final de su vida). A 
  mí me intimidaban los chicos pobres (…) mi hermana, en cambio, 
  dirigía a sus compañeras. ... leer la entrevista en 
  La Nación
Georgie y Adolfito, la Amistad que engendró una gran literatura 
  por Bartolomé de Vedia en diario 
  La Nación
  El miércoles próximo (17 de agosto 2005), en ocasión del 
  lanzamiento de la Biblioteca Esencial Borges-Bioy Casares, integrada por diez 
  obras del primero y diez del segundo, LA NACION editará un suplemento 
  de ocho páginas consagrado a la historia de amistad literaria entre los 
  dos grandes escritores argentinos. El lector encontrará en el suplemento 
  un álbum de más de sesenta fotografías que registran los 
  momentos más importantes de aquella relación. Las imágenes 
  tienen como epígrafes textos de Borges, de Bioy y de otros escritores 
  y personalidades del mundo literario. Además, se publicará una 
  cronología conjunta y un texto del crítico literario Daniel Martino, 
  curador de esta edición especial y encargado de los papeles privados 
  de Adolfo Bioy Casares. Martino es el responsable de la edición de "Borges", 
  de Adolfo Bioy Casares, libro cuya publicación es esperada con ansiedad 
  por la comunidad literaria internacional, en el que Bioy Casares registró 
  durante décadas las crónicas y las reflexiones que le suscitaba 
  cada encuentro con su amigo.
Descanso de caminantes de Adolfo Bioy Casares, reseña por MARTÍN DE AMBROSIO para Página 12
  Apócrifos atribuidos a Borges por la explotadora comercial 
  de su obra (por ende modificada): 
  "...Casi veinte años después, grande fue mi sorpresa 
  al comprobar que aquella irreverente locura juvenil en forma de prólogo, 
  aparecía autenticada como si fuera un verdadero escrito de Borges, en 
  el volumen 'Jorge Luis Borges, El Círculo Secreto, Prólogos y 
  notas', página 268, editado por Emecé, y con copyright de la Srta. 
  Kodama..." Dr. Luis Alberto Melograna Lecuna
"La inhumana especie" por Gabriel Albiac, filósofo. 
  Pulse aquí 
  para leer
  Y otras páginas de Filosofía
  
  

 
 
  
  Jorge Luis Borges y Betina Edelberg
  
  
  
  
  Para leer las obras 
  disponibles pulse sobre las imágenes
  
  
  ...Casi veinte años 
  después, grande fue mi sorpresa al comprobar que aquella irreverente 
  locura juvenil en forma de prólogo, aparecía autenticada como 
  si fuera un verdadero escrito de Borges, en el volumen “Jorge Luis Borges, 
  El Círculo Secreto, Prólogos y notas”, página 268, 
  editado por Emecé, y con copyright de la Srta. Kodama... Dr L A M Lecuna.
   
at Can Mossenya at the opening night of the first meeting 
  of The Worldwide Society of Friends 
  of Jorge Luis Borges. 
  They are available to Members in the virtual Reading 
  Room:
El Borges que yo conocí
por Alicia JuradoRecuerdos de Borges
por María Esther VázquezNuestro fervor de Borges
por Eduardo García de EnterríaQuiero recordar a Borges
por Betina EdelbergY, en suplemento:
Versión de Borges
por Betina Edelberg
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